Les Etats-Unis et l'Algérie contre l'intervention militaire au Mali
Si la France et la Cédéao semblent prêtes à en découdre avec les factions islamistes du Nord-Mali, les Etats-Unis et l’Algérie sont, eux, plus réticents à une intervention militaire étrangère.
C’est ce qu’a confirmé le 30 octobre le général Carter Ham, haut commandant de l’Africom (le corps de l’armée américaine pour le continent africain) en visite à Alger, a indiqué El Watan.
«Il y a un aspect militaire qui fera partie d’un plan global dans la résolution de ce conflit» a quand même reconnu Carter Ham, qui a toutefois insisté sur la nécessité de trouver avant tout une solution politique à la situation du nord.
Au-delà de ces déclarations, le haut commandant de l’Africom semble avoir scellé un peu plus le rapprochement entre l’Algérie et les Etats-Unis au sujet de la crise malienne. Multipliant les appels du pied, il a notamment témoigné de son plaisir de retrouver «l’Algérie, un beau pays et un peuple hospitalier». Une «Union parfaite, ou presque» entre les deux pays, selon le journaliste d’El Watan.
Lu sur El Watan
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C’est ce qu’a confirmé le 30 octobre le général Carter Ham, haut commandant de l’Africom (le corps de l’armée américaine pour le continent africain) en visite à Alger, a indiqué El Watan.
«Je ne suis pas ici pour discuter de notre présence militaire au Mali, mais pour encourager le dialogue à l’intérieur de ce pays et avec les pays voisins pour le rétablissement de la stabilité à Bamako» a déclaré le haut gradé américain.Ansar Dine, qui a constitué un émirat dans le nord du Mali, est ainsi considéré par l’état-major américain comme un possible partenaire dans des négociations politiques à venir affirme le journaliste d’El Watan.
«L’un des aspects-clés dans la résolution de la crise malienne, c’est de faire la distinction entre les groupes armés dans cette région et définir ceux qui sont terroristes et ceux qui ne le sont pas» a-t-il continué, voulant ainsi marquer une différence entre Ansar Dine et le Mujao (Mouvement pour l’Unicité du Jihad en Afrique de l’Ouest).
«Il y a un aspect militaire qui fera partie d’un plan global dans la résolution de ce conflit» a quand même reconnu Carter Ham, qui a toutefois insisté sur la nécessité de trouver avant tout une solution politique à la situation du nord.
Au-delà de ces déclarations, le haut commandant de l’Africom semble avoir scellé un peu plus le rapprochement entre l’Algérie et les Etats-Unis au sujet de la crise malienne. Multipliant les appels du pied, il a notamment témoigné de son plaisir de retrouver «l’Algérie, un beau pays et un peuple hospitalier». Une «Union parfaite, ou presque» entre les deux pays, selon le journaliste d’El Watan.
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