Planification du Pentagone pour l'opération militaire multinationale au Mali
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STRINGER / STRINGER - Des combattants de l'Al-Qaïda liés garde groupe islamiste support MUJWA à Gao, dans le nord du Mali, le 7 août 2012. Les planificateurs militaires américains ont commencé à aider à organiser une force multinationale proxy d'
Les planificateurs militaires américains ont commencé à aider à organiser une force multinationale proxy d'intervenir l'année prochaine au Mali, l'frappée par la famine, coup ravagée par pays africain qui est devenu un aimant pour les extrémistes islamistes, selon des responsables américains mercredi.
La force internationale serait dirigé sur le terrain par plusieurs milliers de soldats maliens et ouest-africains, mais recevrait un soutien important du Pentagone et du Département d'Etat, ce qui aiderait former, d'équiper et transporter les troupes, Obama a déclaré représentants de l'administration.
Responsables américains ont déclaré les efforts de planification du Pentagone sont subordonnées à l'approbation par le Conseil de Sécurité de la force dirigée par des Africains. Fonctionnaires de l'ONU et des diplomates d'autres pays ont déclaré que l'approbation de l'ONU est probable et que l'opération militaire pourrait commencer l'année prochaine.
La divulgation que les planificateurs militaires américains ont commencé à se préparer pour l'intervention a été faite par des fonctionnaires du Département d'Etat et le Pentagone à une audition du Sénat mercredi. Il a été le signe le plus clair encore que l'administration a décidé de prendre une position plus agressive contre d'affiliation croissante d'Al-Qaïda en Afrique du Nord et d'essayer de rétablir l'ordre au Mali, un pays saharien sur le point de s'effondrer.
Une opération militaire au Mali, cependant, sera inévitablement désordonné et imprévisible.L'instabilité chronique dans le pays, l'un des plus pauvres du monde et déchirée par des divisions tribales et la corruption, a rapidement empiré depuis les extrémistes islamistes ont pris le contrôle du nord du Mali - un morceau de territoire de la taille du Texas - cette année.
Sénateur Christopher A. Coons (D-Del.), président du sous-comité des relations étrangères du Sénat sur l'Afrique, le nord du Mali appelé «le plus grand territoire contrôlé par les extrémistes islamiques dans le monde."
D'autres responsables américains ont déclaré filiale nord-africaine d'Al-Qaïda, qui pendant des années a attiré l'attention mondiale limitée, constitue une menace croissante. Le groupe est devenu bien garnie avec des armes de contrebande de la Libye après la guerre menée par l'OTAN l'année dernière. Il finance ses activités par les raquettes de contrebande et en enlevant les étrangers pour obtenir une rançon.
Dans le même temps, les responsables américains ont reconnu que le groupe n'a pas démontré sa capacité à lancer des attaques terroristes en dehors de la région. Certains analystes indépendants se sont demandé si la stratégie de l'administration pourrait se retourner par brouiller les Etats-Unis dans un conflit insoluble local.
Amanda J. Dory, secrétaire du Pentagone adjoint pour l'Afrique, a déclaré l'armée américaine a été en mesure de recueillir des renseignements pour aider à façonner la force internationale à lutter contre les extrémistes islamistes dans le nord du Mali.
"Il ya beaucoup d'autres formes d'informations et de renseignements qui circulent qui nous donnent un aperçu assez des fins de planification,» at-elle déclaré dans une interview mercredi après son témoignage devant le sous-comité. «Vous n'avez jamais autant d'informations que vous voulez, mais ça a été suffisant pour des fins de planification."
Dory a souligné que les troupes terrestres américaines entrer au Mali, mais elle n'écarte pas la possibilité de les avions de guerre américains du Pentagone qui contribuent à transporter des troupes africaines ou de leur fournir la couverture aérienne.
«Nous avons certainement ne sais pas comment cela pourrait marcher," dit-elle.
La loi américaine limite les Etats-Unis de fournir une aide directe militaire au Mali parce que son président démocratiquement élu a été renversé par un coup d'Etat en Mars. Le coup d'Etat a été mené par des officiers militaires mécontents qui ont dit le président, Amadou Toumani Touré, n'avait pas traité efficacement avec la rébellion islamiste dans le nord.
Le Pentagone a dû se retirer troupes des Forces spéciales et autres formateurs et couper l'aide militaire. Le chef de la junte, le capitaine Amadou Sanogo, avaient reçu une formation aux Etats-Unis dans le cadre d'un programme visant à professionnaliser l'armée minuscule et mal équipée du Mali.
Responsables de l'administration ont dit qu'ils veulent que les restes de l'armée du Mali pour diriger la force internationale. Mais à cause de la loi américaine, le Pentagone doit acheminer l'équipement et d'autres aides par pays ouest-africains, l'Union européenne et d'autres pays.
«C'est un obstacle assez important, et nous devons trouver notre chemin à travers cela,« le général d'armée Carter F. Ham, commandant des forces américaines en Afrique, a déclaré lundi lors d'une conférence à l'Université George Washington.
Surveillance entravée
La rupture dans les relations militaires avec le Mali a également entravé les efforts américains en vue d'obtenir des renseignements au sujet d'Al-Qaïda qui ont trouvé refuge dans le nord du Mali.
L'armée américaine avait effectué des vols de surveillance sur le Mali depuis des années, de vol de petits avions à turbopropulseurs banalisés équipés de capteurs de haute technologie pour surveiller les mouvements des extrémistes islamistes. Aéronefs pour le programme classifié, nom de code Sand Creek, sont basés dans la prochaine porte au Burkina Faso.
Après le coup d'Etat, cependant, l'ambassadeur américain au Mali, Mary Beth Leonard, a ordonné l'arrêt des vols de surveillance, craignant que si l'un des avions s'est écrasé son équipage pourraient être pris en otage par des extrémistes, selon un haut responsable gouvernemental qui a parlé le couvert de l'anonymat pour discuter des détails du programme sensible. En tant qu'ambassadeur, Leonard a le pouvoir d'approuver ou de rejeter la présence du personnel et des programmes américains dans le pays.
L'avion Sand Creek sont exploités par des entrepreneurs américains qui ne portent pas d'uniformes militaires et peut travailler sous couverture. Les vols de surveillance ont continué dans d'autres pays. Certains avions déménagé au Niger pour contrôler le flux de combattants islamistes et les trafiquants à travers le Sahara de la Libye au Mali, le responsable de l'administration dit.
Le Pentagone est encore capable d'effectuer des vols de surveillance à haute altitude sur le Mali en utilisant P-3 avions espions et non armés drones Global Hawk. Mais ces avions sont basés en Europe et doivent parcourir de longues distances beaucoup plus longues pour atteindre le nord du Mali. Ils ont également besoin d'une autorisation de survol des autres pays de la région, tels que l'Algérie, qui est accordée uniquement au cas par cas, selon des responsables américains.
En Craig Whitlock , le Washington Post, Date de publication: Décembre 5, 2012
Source: washingtonpost.com
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