Après quatre mois, de combats, l'opération des forces armées françaises ''Serval'' d'expulsion, voire d'extermination des forces djihadistes, rebelles isalamo-maffieux et bandits de grands chemins qui ont osé menacer la stabilité et l'intégrité territoriale du Mali, pays ne devant sa survie qu'à la protection de son ex-colonisateur, s'apprête à prendre fin dans sa forme de destruction massive, à la plus grande satisfaction des Gouvernements français et malien et de leurs alliés ceux européens, africains, arabes et du monde islamique.
Reste à entreprendre dans l'urgence des élections présidentielles, fortement recommandées par la présidence française pour intervenir en juillet prochain, sans que l'on sache comment les préparer et les réaliser en si peu de temps, alors que la situation est encore loin d'être apaisée entre le Gouvernement malien et les Touaregs indépendantistes de l'Azawad, sauf à croire pouvoir enterrer massivement cette population autochtone.
En attendant, la France qui a dû supporter quasiment seule le fardeau de la Guerre, s'est attelée avec succès dans la préparation et la tenue d'une conférence de donateurs, pour recueillir des fonds pour poursuivre des opérations de stabilisation de la situation, en appuyant notamment des opérations de reconstruction des infrastructures détruites et d'aides aux populations affectées dans le Nord du pays. La Conférence a eu lieu à Bruxelles le 15 mai dernier. Comme toutes les conférences de bailleurs de fonds au profit de pays pauvres, elle a réuni pas mal de monde, une centaine de pays, d'organisations, de grandes fondations et ONG internationales. Alors que les organisateurs tablaient sur des engagements de l'ordre de 2 milliards d'Euros, c'est un montant bien supérieur, de 3,25 milliards d'euros qui a été promis par une communauté internationale plus prompte à débourser la bourse, du moins en termes de promesses, qu'à participer militairement à la guerre française au Mali. Pour stimuler les annonces, la France et l'Union européenne,en leur qualité de co-organisateurs de la Conférence, ont mis haut la barre, l'engagement français en cette phase de reconstruction du Mali a porté sur 280 millions millions d'Euros pour la période 2013 - 2014, celui de l'Union européenne sur 520 millions d'Euros.
Excellente stratégie de la France d'avoir préféré localiser la Conférence à Bruxelles, Capitale où l'Union européenne, tout comme le Gouvernement belge, ont coutume d'abriter avec succès des telles manifestations d'aide aux pays les plus pauvres. Cela aura eu un effet heureux en attirant des donateurs qui auraient été quelque peu gênés de venir annoncer des participations qui profiteront probablement et en premier lieu à la France pour les risques qu'elle a assumés en entreprenant sa guerre au Mali.
Reste à entreprendre dans l'urgence des élections présidentielles, fortement recommandées par la présidence française pour intervenir en juillet prochain, sans que l'on sache comment les préparer et les réaliser en si peu de temps, alors que la situation est encore loin d'être apaisée entre le Gouvernement malien et les Touaregs indépendantistes de l'Azawad, sauf à croire pouvoir enterrer massivement cette population autochtone.
En attendant, la France qui a dû supporter quasiment seule le fardeau de la Guerre, s'est attelée avec succès dans la préparation et la tenue d'une conférence de donateurs, pour recueillir des fonds pour poursuivre des opérations de stabilisation de la situation, en appuyant notamment des opérations de reconstruction des infrastructures détruites et d'aides aux populations affectées dans le Nord du pays. La Conférence a eu lieu à Bruxelles le 15 mai dernier. Comme toutes les conférences de bailleurs de fonds au profit de pays pauvres, elle a réuni pas mal de monde, une centaine de pays, d'organisations, de grandes fondations et ONG internationales. Alors que les organisateurs tablaient sur des engagements de l'ordre de 2 milliards d'Euros, c'est un montant bien supérieur, de 3,25 milliards d'euros qui a été promis par une communauté internationale plus prompte à débourser la bourse, du moins en termes de promesses, qu'à participer militairement à la guerre française au Mali. Pour stimuler les annonces, la France et l'Union européenne,en leur qualité de co-organisateurs de la Conférence, ont mis haut la barre, l'engagement français en cette phase de reconstruction du Mali a porté sur 280 millions millions d'Euros pour la période 2013 - 2014, celui de l'Union européenne sur 520 millions d'Euros.
Excellente stratégie de la France d'avoir préféré localiser la Conférence à Bruxelles, Capitale où l'Union européenne, tout comme le Gouvernement belge, ont coutume d'abriter avec succès des telles manifestations d'aide aux pays les plus pauvres. Cela aura eu un effet heureux en attirant des donateurs qui auraient été quelque peu gênés de venir annoncer des participations qui profiteront probablement et en premier lieu à la France pour les risques qu'elle a assumés en entreprenant sa guerre au Mali.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire