BAMAKO, 13 mai (AFRIQUE-MONDE) - La Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA, rébellion) paraphera jeudi dans la capitale algérienne l'accord d'Alger du 1er mars sur le retour à la paix, a confirmé mercredi le ministère algérien des Affaires étrangères.-
2 0Google +2 1 0"Je confirme" que la CMA paraphera jeudi l’accord d’Alger, a indiqué le porte-parole du ministère, Abdelaziz Benali Chérif.
Un responsable rebelle et une source de sécurité régionale avaient indiqué mardi que des délégations des groupes de la CMA, se rendraient mercredi à Alger pour parapher "en principe" cet accord.
L’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, qui doit être signé vendredi à Bamako, a été paraphé à Alger le 1er mars par le gouvernement malien et ses alliés mais la rébellion touareg avait demandé un temps de réflexion.
Les ministres algérien et français des Affaires étrangères avaient appelé mardi à cette signature "dans l’intérêt de la paix au Mali et dans la région", selon Laurent Fabius, qui s’exprimait à Alger avec son homologue algérien Ramtane Lamamra.
Le texte de l’accord prévoit la création d’Assemblées régionales dotées de pouvoirs importants, élues au suffrage universel direct, mais, comme le souhaitait Bamako, ni autonomie ni fédéralisme. il reconnaît l’"Azawad", nom par lequel les rebelles désignent le nord du Mali, comme une "réalité humaine", mais sans contenu politique. (NAP/2015
Un responsable rebelle et une source de sécurité régionale avaient indiqué mardi que des délégations des groupes de la CMA, se rendraient mercredi à Alger pour parapher "en principe" cet accord.
L’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, qui doit être signé vendredi à Bamako, a été paraphé à Alger le 1er mars par le gouvernement malien et ses alliés mais la rébellion touareg avait demandé un temps de réflexion.
Les ministres algérien et français des Affaires étrangères avaient appelé mardi à cette signature "dans l’intérêt de la paix au Mali et dans la région", selon Laurent Fabius, qui s’exprimait à Alger avec son homologue algérien Ramtane Lamamra.
Le texte de l’accord prévoit la création d’Assemblées régionales dotées de pouvoirs importants, élues au suffrage universel direct, mais, comme le souhaitait Bamako, ni autonomie ni fédéralisme. il reconnaît l’"Azawad", nom par lequel les rebelles désignent le nord du Mali, comme une "réalité humaine", mais sans contenu politique. (NAP/2015
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