Après ce qu’il considère comme des "exactions" commises par l’armée malienne jeudi à l'aéroport de Kidal, le MNLA a annoncé qu'il reprenait la guerre.
Faut-il craindre une reprise de la rébellion Touareg au Nord-Mali ?
Après ce qu’il considère comme des "exactions" commises par l’armée malienne jeudi à l'aéroport de Kidal, le MNLA a annoncé qu'il reprenait la guerre contre l'armée malienne.
"Là où on trouvera l’armée malienne, on lancera l’assaut sur elle. Ce sera automatique. Les mises en garde sont terminées", a déclaré à l'AFP Mahamadou Djeri Maïga, vice-président de la rébellion touareg.
Jeudi, quelques centaines de manifestants avaient pénétré dans l'aéroport de Kidal (nord-est), au moment de l’arrivee de l’avion transportant le Premier ministre malien Oumar Tatam Ly.
Les militaires maliens ont ouvert le feu sur ces manifestants.
Selon le MNLA cité par l’AFP, les tirs "à balles réelles", "sur des femmes et des enfants qui manifestaient pacifiquement", ont fait un mort et cinq blessés.
Idrissa Seydou Dia a obtenu la réaction d'un leader du Mouvement nationale de libération de l'Azawad (MNLA).
Ces nouveaux incidents illustrent la situation sécuritaire très précaire à Kidal. De nombreux habitants vivent dans la peur, comme l'explique cet habitant de la ville qui a requis l’anonymat pour raisons de sécurité.
Après ce qu’il considère comme des "exactions" commises par l’armée malienne jeudi à l'aéroport de Kidal, le MNLA a annoncé qu'il reprenait la guerre contre l'armée malienne.
"Là où on trouvera l’armée malienne, on lancera l’assaut sur elle. Ce sera automatique. Les mises en garde sont terminées", a déclaré à l'AFP Mahamadou Djeri Maïga, vice-président de la rébellion touareg.
Jeudi, quelques centaines de manifestants avaient pénétré dans l'aéroport de Kidal (nord-est), au moment de l’arrivee de l’avion transportant le Premier ministre malien Oumar Tatam Ly.
Les militaires maliens ont ouvert le feu sur ces manifestants.
Selon le MNLA cité par l’AFP, les tirs "à balles réelles", "sur des femmes et des enfants qui manifestaient pacifiquement", ont fait un mort et cinq blessés.
Idrissa Seydou Dia a obtenu la réaction d'un leader du Mouvement nationale de libération de l'Azawad (MNLA).
Ataye Ag Mohamed, porte-parole du MNLA
Ces nouveaux incidents illustrent la situation sécuritaire très précaire à Kidal. De nombreux habitants vivent dans la peur, comme l'explique cet habitant de la ville qui a requis l’anonymat pour raisons de sécurité.
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