Slate Afrique avec l'AFP
"Le CICR a facilité le transfert en accord avec le gouvernement malien et les groupes armés qui sont aujourd'hui actifs au nord du Mali. C'est la première fois que des personnes détenues par les autorités maliennes sont libérées en relation avec le conflit" ayant éclaté à la mi-janvier dans ce pays, a précisé M. Mwehu.
Les personnes libérées "sont des adultes qui, selon leurs dires, n'appartiennent pas toutes au MNLA", le Mouvement national de libération de l'Azawad (rébellion touareg), "nous les avons amenées jusqu'à Gao pour que chacun puisse aller dans sa famille", a ajouté le porte-parole.
Le MNLA et les organisations islamistes Ansar Dine et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) combattaient l'armée malienne depuis le 17 janvier. Ils ont profité d'un coup d'Etat militaire, le 22 mars, pour accélérer leur offensive et prendre le contrôle d'une vaste région du nord du pays.
"Par le passé, on avait déjà eu à faire ce genre d'activité mais plutôt dans le sens inverse: c'étaient des personnes détenues par le MNLA - des militaires maliens - dont nous avions facilité le transfert pour les remettre aux autorités maliennes. Du côté du gouvernement malien, c'est la première fois que ça se passe", a souligné Germain Mwehu
Le MNLA et les organisations islamistes Ansar Dine et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) combattaient l'armée malienne depuis le 17 janvier. Ils ont profité d'un coup d'Etat militaire, le 22 mars, pour accélérer leur offensive et prendre le contrôle d'une vaste région du nord du pays.
"Par le passé, on avait déjà eu à faire ce genre d'activité mais plutôt dans le sens inverse: c'étaient des personnes détenues par le MNLA - des militaires maliens - dont nous avions facilité le transfert pour les remettre aux autorités maliennes. Du côté du gouvernement malien, c'est la première fois que ça se passe", a souligné Germain Mwehu
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