9 juin 2013 à 22:51
Un combattant touareg du MNLA, à Kidal, le 4 février. (Photo Cheick Diouara. Reuters)
Reportage
Les différents groupes armés du Nord et le gouvernement central étaient hier sur le point de s’entendre pour garantir l’élection présidentielle du 28 juillet.
Libération
Des groupes armés embrassés dans la haine comme un nœud de serpents jetés sur le carrelage froid du palais présidentiel du Burkinabé Blaise Compaoré, médiateur de la crise malienne au nom de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédéao). Voilà ce que fut la dernière ligne droite des négociations pour forcer les groupes armés, notamment le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et le Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA), à déposer les armes à Kidal et...
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